Voici un espace destiné à évoquer l'actualité littéraire, les expositions, les manifestations liées aux échanges culturels. Les étudiants du Master Pro MCEI y collectent différentes informations destinées à nourrir une réflexion sur la relation entre la France et les pays étrangers, en replaçant l'actualité dans le sillage de l'histoire culturelle.
Même la pluie est un titre étrange, intrigant. Et même frustrant. Il ne nous renseigne pas mais nous attire. Il nous questionne. La pluie. L’eau. La vie. L’eau qu'on nous enlève. Bientôt l’air peut-être. Que restera-t-il ? Un film qu’une équipe espagnole vient tourner dans les décors majestueux de Bolivie ?
 
Que se passe-t-il lorsque les années 70 rencontrent les années 80 ? Cela donne Neon Indian, un groupe de chillwave qui fait s’accorder mélodies psychédéliques et rythmes discos. Un an après sa sortie originelle, leur album Psychic Chasms est enfin disponible en France, enrichi de quelques savoureux bonus.
 

Ah ! Le flamenco, ses castagnettes et ses robes à froufrous !
Aller voir un spectacle d’Israel Galván, c’est définitivement remiser ces images d’Épinal dans le placard du suranné. Ce fils de danseurs sévillans est, depuis plus de dix ans, salué par la critique et connu dans le monde entier comme un véritable révolutionnaire dans la conception des spectacles de flamenco. Sans rompre avec une tradition qu’il côtoie depuis son enfance, il lui offre une nouvelle vie, une seconde jeunesse, un nouvel âge d’or.

« Alors comme ça B.J. tu me demandes de te dire en une phrase de quoi parle ce film ? Moi je te dis que c’est trop pour une seule phrase – même si elle dure à perpète. Â» Impossible, en effet, de résumer l’ouvrage de William S. Burroughs, jusqu’ici inédit en français, que les Editions Tristram viennent de publier. Dans Le Porte-lame, paru aux États-Unis en 1979 sous le titre Blade Runner (A Movie), Burroughs, figure majeure de la Beat Generation, connu pour ses romans hallucinés et hallucinogènes, renouvelle sa célèbre technique du « cut-up Â».

Trois jours pour découvrir la danse orientale en fusion avec BellyFusions du 21 au 23 janvier. Au programme : deux spectacles éphémères, des stages chorégraphiques et une soirée de clôture.
Après les succès de 2009 et 2010, le festival n’a pas fini de témoigner de l’effervescence créative qui touche aujourd’hui les danses orientales. Loin d’être un art fermé et loin de l’image que l’on s’en fait habituellement, les danses orientales expriment une richesse et une diversité inouïes grâce à un métissage avec d’autres influences chorégraphiques et artistiques.

Angoulême ? C'est la ville de Charente où a lieu le festival international de la bande dessinée ! Présidé par Baru, il s'invitera du 27 au 30 janvier 2011 dans le musée de la Bande dessinée, le musée du Papier, les ateliers Magelis, la maison des Auteurs, le bâtiment Castro, l'espace Franquin, le Théâtre, le Conservatoire, l'Hôtel Saint-Simon et différentes places publiques. Cet événement sera également diffusé par divers canaux multimédias.

Créer une œuvre d'art en utilisant des éléments de géographie, telle est l'ambition de l'exposition Nous ne notons pas les fleurs, dit le géographe proposée par Bétonsalon. Ce site de présentation et de recherche artistique est bien connu pour l'interdisciplinarité de ses projets. L'intitulé littéraire de l'événement témoigne d'une volonté de lier des domaines variés. Cette citation est extraite du Petit Prince de Saint-Exupery. Dans le chapitre cinq, le petit prince voit un vieil homme avec un livre : le géographe. Son rôle est de consigner toutes les choses du monde, mais il refuse de noter la Fleur, celle-ci n'étant pas fixe, éternelle.

Photos de génies

ven, 01/14/2011 - 15:16 | Ajouter un commentaire

Dans le cadre du Mois de la Photo, la Maison de Victor Hugo s’associe à deux grandes institutions parisiennes – les Collections Roger-Viollet et la Maison Européenne de la Photographie – pour présenter une exposition consacrée aux portraits d’écrivains de 1850 à nos jours. Jusqu’au 20 février, l’hôtel de Rohan-Guéménée, place des Vosges, accueille près de deux cents œuvres qui traduisent, toutes à leur manière, une collaboration singulière entre écrivains et photographes.


Le 6 février se finira l’exposition L’Or des Incas - Origines et mystères à la Pinacothèque de  Paris :  l’occasion de se dépêcher pour aller voir ces deux cent soixante-treize trésors, issus des musées péruviens les plus réputés.

Entrez en terre inconnue, et laissez-vous guider par des cinéastes au regard impliqué, en empathie avec un accordeur technicien du piano. Dans ce film documentaire de création, réalisé par Lilian Franck et Robert Cibis en 2009, la musique n'est pas une valeur ajoutée aux situations. Elle en constitue l'enjeu.